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Oare chestia asta e scrsa de mine? 

 

Ce que fait du monde une place funeste n’est pas nécessairement le fait qu’on est à tout l’instant proie de la mort implacable, mais, que l’injustice règne sans entrave sur nos vies. Pour toute action nefaste, les individus humains paient sur la terre  

Ceea ce face din lume un loc funest nu este neaparat faptul  ca suntem panditi in orice moment de moartea implacabila, ci, ca peste vietile noastre domneste nestingherit nedreptatea.  Pentru orice actiune nefasta, oamenii dau socoteala pe plan terestru partial, niciodata o crima nu va putea fi rascumparata cu o alta crima, niciodata o suferinta provocata de un individ persecutor, care lasa rani sufletesti profunde victimei, nu va putea fi cunoscuta la aceeasi intensitate de catre opresor, de altfel fiind  replici indezirabile si inutile, care nu aduc niciun castig pentru partea vatamata ci doar o posibila satisfactie instinctuala.

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Da, de ine e scrisa 

 

 

 

Ceea ce face din lume un loc funest nu este neaparat faptul  ca suntem panditi in orice moment de moartea implacabila, ci, ca peste vietile noastre domneste nestingherit nedreptatea.  Pentru orice actiune nefasta, oamenii dau socoteala pe plan terestru partial, niciodata o crima nu va putea fi rascumparata cu o alta crima, niciodata o suferinta provocata de un individ persecutor, care lasa rani sufletesti profunde victimei, nu va putea fi cunoscuta la aceeasi intensitate de catre opresor, de altfel fiind  replici indezirabile si inutile, care nu aduc niciun castig pentru partea vatamata ci doar o posibila satisfactie instinctuala. toate acestea sunt dovada ca personalitatile oamenilor sunt aparent  asemanatoare, dar de fapt similitudinele dintre ele sunt aproape inexistente. Am putea, asadar, spune ca personalitatile oamenilor nu sunt o culoare, ci o nuanta, care spre deosebire de spectrul finit al nuantelor culorilor, perceptibile pentru ochiul uman, este nelimitat, caci, insusi propria persoana nu este capabila sa recunoasca  trasaturile abia creionate ale personalitatii. Totusi, cele mai insignifiante trasaturi ale personalitatii sunt incontestabil considerate inerente acesteia intrucat de-a lungul vietii apar repetabil, obisnuintele capatate in primii ani de viata care se depun cu precizie peste fundamentul personalitatii innascute, ajungandu-se in cele din urma sa fie inseparabile de aceasta.

Maretia fiintelor umane provine din diversitatea lor spirituala, caci nicio persoana nu poate sa fie comparata cu o alta, la drept vorbind, indiferent de circumstante sau de tratamentul similar primit. Putem sa ne gandim la gemeni monozigoti, care par impartasesc o multitudine de caracteristici ale aspectului fizic, chiar si ale capacitatii cognitive, dar care sunt in pofida acestor factori, entitati umane cu personalitati diferite. Si toate acestea dupa ce au primit aceeasi slefuire a personalitatii de catre familie ! Dar sa ne gandim la cazurile in care gemenii sunt despartiti la nastere. Ce ar mai face asemanarea dintre ei evidenta ? Reminescente ale fatalitatii de existenta a gemilitatii, ar exista cu siguranta, totusi nimic nu ar face posibila o viata identica a celor doi. De fapt, nimic din universul acesta nu este identic, chiar daca ar fi trecut printr-o matrita spatio-temporala.

De aici pornesc beatitudinea si totodata caznele speciei umane. Ne putem bucura ca nimeni, niciodata nu este persoana noastra, ca identitatea noastra neidentica cu cea a altor persoane nu se va pierde       

02.02.2018

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Au trecut aproape 10 ani....Dar nu am chef să citesc. 

 

Journal d’une élève

 

                                                                                                 

 

 

<< Ce que je sais à soixante, je le savais aussi bien à vingt. Quarante ans d’un long, d’un superflu travail de vérification. >>

                                                                                                                       Emil Michel Cioran

 

  

                                                                                              Jeudi, le 22 novembre 2012, 21.45

 

  Depuis longtemps j’ai eu l’idée d’écrire un journal. J’ai même commencé et j’ai écrit quelques pages mais je n’ai pas continue à cause d’oubli qui m’a empêché d’écrire chaque jour.                                         

   Voilà que maintenant je dois écrire ce journal comme un devoir de français. Je ne crois pas que cela sera difficile parce que j’écrirai seulement des faits réels et je n’ai pas besoin d’inspiration. La journée d’aujourd’hui a commencé mal et il semble qu’elle finira de la même manière mais cela n’est pas une nouveauté pour moi. Je ne sais pas comment  j’ai réussi d’arriver en temps à l’école parce que je me suis réveille très tard. Peu de temps après que je me suis assise à ma place, le professeur est entré dans la salle de classe. Il a dit qu’il commencera à examiner. Je n’ai pas suffisamment de notes et j’ai pensé que je serai la première élève qu’il examinera. Ce n’étais pas comme j’avais prévu et je croyais que j’avais échappé belle cette fois. Quand j’ai entendu mon nom, le ciel m’est tombé sur la tête. J’ai essayé de répondre mais je semblais que je suis muette. Je me suis calmée quand j’ai entendu le nom d’une autre élève. De toute manière je me suis sentie inquiété jusqu’à la fin de la classe de roumain. Heureusement elle a passé sans que je prenne une mauvaise note. J’ai été fatiguée pour tout le reste de la journée et la classe des mathématiques m’a accentué la fatigué. Je regardais souvent l’horloge mais chaque fois j’étais déçue. J’avais l’impression qu’il a passé un quart d’heure mais la vérité était qu’ils ont passé cinq minutes. A cause de cette chose je me suis décidée d’être attentive. Je n’ai pas pu rester concentrée pour une longue durée parce que je me suis rendue compte que je ne comprend pas les formules mathématiques. Enfin la classe  s’est  finie et j’ai pu rentrer chez moi. Après que je suis rentrée chez moi je me suis reposée.                                                                                                                  Maintenant  il est vingt-deux heures vingt, une heure très tarde en tenant compte que je dois apprendre à l’histoire. 

 

                                                                              Vendredi, le 23 novembre 2012, 04.30  

 

Je  ne peux plus dormir à dormir à cause d’un cauchemar. J’ai eu une nuit horrible et je me suis endormie très tard. Néanmoins je ne me sens pas très fatiguée comme d’habitude. La mauvaise part est que j’ai l’impression que je ne sais pas plus qu’est-ce que j’ai appris l’histoire la nuit dernière. J’ai encore une heure et demi jusque quand je devrai aller à l’école car théoriquement j’ai encore du temps pour répéter.                                                                                                                                                   

                                                                                                                                                                     18.35                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         Cet après-midi j’ai dormi beaucoup. Peut-être que j’ai récupéré le sommeil de la nuit dernière que j’ai passé en apprenant. A sept heure, quand je suis arrivée dans la classe, j’ai constaté que ne sont pas présents  beaucoup d’élèves. J’étais sure que je serai examinée mais la plus grande peur était de n’être pas la seule élève examinée lors même que je ne peux pas comprendre ce désir. L’examinassions a commencé à sept heures et dix. Heureusement ils étaient encore quatre élèves que le professeur devait les examiner. Je me suis dépêchée de répondre aux premières trois questions. J’ai donné une réponse incohérente et j’ai été obligée de la  répéter. Enfin j’ai réussi me retrouver le calme. A huit heures moins le quart tout est fini. Le professeur s’est dirigé vers le chaire en disant que nous n’avons pas appris pour aujourd’hui. Il ne faisait référence seulement à moi mais j’avais l’impression que j’étais la cause de cette affirmation. Après qu’il a ouvert le catalogué j’ai commencé de trembler et je sentais que j’avais un nœud dans la gorge. Comment je pouvais lui expliquer que j’avais appris? Il a feuilleté le catalogue et quand il a trouvé mon nom, il m’a regardé pour quelques instants et il m’a dit : <<Tu as appris car tu as dix pour aujourd’hui. Assieds-toi!>> Je n’ai eu aucune réaction quoique je ne croyais pas que je méritais d’avoir cette note. La journée a passé difficilement parce que je pensais aux nouveaux livres en français que j’ai procurés. Après que je suis arrivée chez moi j’ai commencé de lire et puis j’ai dormi quelques heures.

21.17

D’une certaine manière je me sens coupable. La semaine prochaine j’aurai deux tests importants, ou au moins je crois. Jusque maintenant je n’ai appris rien cependant c’est la fin de la semaine et je me suis proposé d’apprendre. Peut-être je sais un peu les leçons d’histoire mais certainement je dois apprendre trois chapitres à l’anglaise. Je réfléchis parce que je ne sais pas quoi faire. Je veux apprendre cette soirée mais je sais que c’est près impossible parce que mon frère rentra à la maison.

                                                                                 Samedi, le 24 novembre 2012, 00.50

Mon frère est arrivé autour de minuit et il nous a raconté qu’est ce qu’il a fait à l’école de police et comment a été le voyage. Je n’ai pas écouté tout ce qu’il  a dit parce que je pensais aux mes affaires.

01.30

Pendant tout ce temps j’ai eu l’idée d’apprendre mais j’ai pensé et je me suis rendue compte que c’est tard. Alors j’ai décidé de me reposer, en pensant que je me réveillerai tôt, à l’heure cinq et demi.

10 .22

Je n’ai fait aucun effort de me réveiller parce que j’ai stoppé l’alarme immédiatement et puis je me suis endormie. Malheureusement   j’ai dormi beaucoup. C’est bien, j’ai encore tout le temps du monde pour apprendre car la fin de la semaine vient de commencer.

18.25   Je ne peux pas croire ! Après que j’ai fini de lire de quelques fois la leçon d’histoire je  me suis  rappelée que je dois faire quelques niaiseries. Et comme ça j’ai perdu toute la journée sans faire rien. Le pire est que j’ai allumé mon ordinateur portable et j’ai trouvé autres choses sans importance  qu’occuperaient mon temps. Je suis paresseuse et sans volonté. J’espère encore que j’apprendrai demain si personne et rien ne me dérange.                                                                                

 

                                                                             Dimanche, le 25 novembre 2012, 11.03

Il semble que tout est dans ma défaveur. J’ai tenu ma parole parce que j’ai appris à l’anglais dès que  je me suis réveillée mais peu de temps mon père m’a dit que je dois aller chez quelqu’un. Initialement j’ai refusé mais puis j’ai du accepter et je me prépare pour le départ. La mauvaise part est que  je sais que j’arriverai tard.

 

17 .10

A peine je suis arrivée chez moi et je me suis souvenue que je dois apprendre la biologie. J’ai eu du temps toute la semaine et pour ça j’ai des remords. Je crois que je n’apprendrai plus parce que je suis très fatiguée. Certainement tous les collègues regarderont moi étonnais parce que je dirai à ma professeure que je n’ai appris rien. Je prendrai une mauvaise note mais je n’aurai pas honte. Puis je pars à ma place et tout finira. De toute façon je ne hais pas la biologie et j’apprendrai pour la semaine prochaine.

20.45

Après que j’ai lu dix chapitres de <<Parvenus anciens et nouveaux>> j’ai pensé de prendre une pause. Je n’ai pas l’habitude de faire ça quand j’ai du temps pour lire mais de cette fois je serais examinée à biologie. Je devais prendre vite une décision. J’ai ouvert le livre et j’ai commencé lire sur la photosynthèse. Le téléviseur était allumé et il distrayait mon attention. Je suis partie dans une autre chambre où j’ai compris que j’essayé inutilement d’apprendre, car je n’apprendrai pas plus.

 

                                                                                   Lundi, le 26 novembre 2012, 23.12

Aujourd’hui il n’a été pas rien de spécial. Je peux dire seulement dire que cette journée m’a apporté beaucoup de choses inattendues. Comme par un miracle j’ai su la leçon de biologie sans l’apprendre. J’ai eu un peu de temps libre et j’ai  pensé à le fait que je dois changer quelque chose en moi-même. Beaucoup de connaissances me disent que j’ai une attitude négative. Ils ont raison. Moi je me considère sans volonté et très désorganisée. Mais si j’ai une volonté qu’es destructrice ? Je me souhaite d’apprendre plus mais je ne peux pas parce que je suis forcée de l’école. Quand je suis obligée de quelqu’un ou quelque chose, j’apprends difficilement. Je ne me considère une piocheuse et pour ça je ne devrai pas me stresser trop avec la situation scolaire. C’est vrai, je suis non-conformiste mais j’ai déjà commencé de ne me faire pas des soucis pour ce que les hommes parlent sur moi. Personne n’a pas le droit de me juger parce que je me supporterai les conséquences. Le but de ma vie est de me dépasser moi-même, je ne veux pas dépasser les autres. Je ne me sens pas libre. Je suis enchaînée de tentations et de choses superflues qui ne me permettent pas de vivre la vie dans ma propre manière. Pour moi les tentations sont la porte pour tous les malheurs du monde. Elles me font de me perdre tout le temps libre que j’ai.                                                                                                                                                      Il n’est plus nécessaire que j’écrive. J’ai déjà gaspillé beaucoup de lignes pour écrire sur rien. Ni moi je ne lirais encore une fois ce que j’ai écrit. J’ai besoin de dormir.                                                                                                         

 

                                                                                                                 Mardi, le 27 novembre 2012 ,17.25

Demain j’aurai le test à l’histoire et à cause de cela j’ai répété plusieurs fois la leçon. Après tout je me suis rendue compte que j’appris en vain. Je sais que je ne saurai pas rien. Je ne suis pas pessimiste, c’est seulement la vérité. Les tests sont torturants pour moi et j’essayé de trouver des moyens pour me détendre.  Pour cet instant je ne trouve pas car je vais me reposer.

 

                                                                               Mercredi, le 28 novembre 2012,20. 42

Je  suis le genre de personne qui ne fait pas rien de tout mais qui peut bavarder en vain  pendant des heures et des heures. J’ai une vie monotone, les jours me semblent identiques , les mêmes personnes, les mêmes lieux et les mêmes faits. Cependant je ne crois pas que j’aurai une réaction agréable si un jour tout se change. Je me lamente chaque jour que je ne détiens pas le temps nécessaire mis quand j’ai l’occasion d’être libre je ne sais pas en profiter. La vie n’est pas faite pour ne faire rien. Non, je dois utiliser toutes les opportunités. Mais pourquoi toutes ces souffrances ?  Pourquoi je ne reste pas tranquille, sans faire rien et d’attendre pour le passage du temps ? Alors, j’aurais tout le temps du monde mais je n’aurais pas de raison pour être fière de moi. Rien de nouveau, je ne suis jamais fière de moi. Je suis très confuse dans cette soirée, je ne sais pas quoi écrire encore. Je pense à la réaction des lecteurs. Certainement, ils ne seront pas enchantés de ce que j’écris. Aujourd’hui j’ai été nerveuse parce que je m’étais senti suffoquée par la technologie. Je fais part du vingtième siècle mais je crois que la modernisation de la technologie n’a pas eu seulement des bienfaisances pour l’humanité. À  mesure que la technologie a avancé, l’homme a devenu un servant de cela. Moi je suis un exemple concret. Je ne peux pas m’imaginer une journée sans internet. L’internet semble utile mais en réalité n’est pas comme ça. Je suis fascinée de le fait que au quelques cliques je peux trouver une bibliothèque online mais du même coup il m’augmente la paresse. J’aurais préféré vivre dans une autre époque dans laquelle étaient des hommes avec une conception diverse

 

                                                                                    Jeudi, le 29 novembre 2012, 16.30

Ça y est! Aujourd’hui j’ai commence des mini-vacances parce que demain ç ‘est la fête du Saint André, un jour que cet année a devenu libre et après-midi c’est notre jour national. En revenant de l’école je pensais que pendant les jours libres je pouvais commencer sérieusement à apprendre mais pour ça j’ai besoin d’un endroit calme donc j’ai pensé d’aller à la campagne, chez mes grands-parents. J’ai mis quelques livres dans le cartable et autres choses utiles et je suis partie. Je suis arrivée d’un peu de temps et j’essayé difficilement à apprendre. Je ne réussi pas parce que je suis fatiguée, je devais dormir un peu. D’une autre coté je suis heureuse parce que je ne dois partir demain à l’école mais je pense que je ne rendrai pas compte quand le temps passe aussi vite. Et puis, je ne sais pas d’où commencer à apprendre. Mes pensées volent loin, loin de cette chambre échauffée et des cahiers désorganisés mises sur la table. Je rêve d’un monde parfait avec des hommes parfaits. J’ouvre mes yeux et soudain je commence de m’énerver. Comment j’ai pu avoir cette utopie? La perfection m’énervera. Je ne pourrais pas vivre dans un monde dans lequel ne seront pas des fautes. Est-ce que quelqu’un peut être parfait s’il crée quelque chose imparfait ? Je n’en crois pas. Le tic-tac de l’horloge m’éveille. Je trouve dans la main un stylo et devant moi je vois un cahier. Je commence d’écrire ces lettres que se transforment en mots, les mots se transforment en phrases et les phrases deviennent une écriture sans sens. Je veux dormis mais je ne veux pas être obligée de me réveiller. J’ai toujours l’envie de dormir. Quand je me réveille j’ai la plus mauvaise sensation. Ce matin a été horrible. Lorsque l’alarme a commencé de sonner je l’ai stoppé immédiatement, en moins d’une seconde et je me suis dit : <<Merveilleux ! Je commence un nouveau jour !>>  La route jusqu’ à l’école ma semble un marche funèbre. En entrant dans la classe j’ai essayé de me changer l’aspect morose mais je n’ai pas réussi car je n’ai fait que d’étaler un sourire false. Pendant tous les classes je me sentais  mal, mais à la fin des cours je suis revenue à la vie. Je n’aime pas l’école cependant j’aime d’apprendre.

                                                                              Vendredi, le 30 novembre 2012, 11.20

Depuis le matin j’ai reçu des messages et des appelles que m’ont troublé le sommeil. Heureusement leur but n’étais à propos d’un projet ou autre chose que me rappelle de l’école mais elles étaient simples souhaits de <<Joyeux onomastique !>> Oui, aujourd’hui c’est mon onomastique, une journée typique, rien de se tout ce que se passera aujourd’hui ne changera pas ma vie. J’ai pris un livre écrit par un écrivain contemporain dont j’ai une opinion inattendue de bonne. Ce ne sont pas beaucoup de chose que j’aime autant que la lecture. Quand je lis j’ai une sensation unique que je ne peux pas la comparer avec autre activité. Malheureusement parfois je n’ai pas envie à cause de mon hyperactivité ou au contraire, de ma mollesse. J’aime plus lire comme maintenant, entendue sur le lit avec un broc de lait chaud à cote de moi et sans une source de bruit.

20 .40

J’aime cette maison dans laquelle j’ai passé quatorze ans de ma vie et que me rappelle de mon enfance. Le vacillement du feu dans la cheminée me donne le sentiment de tranquillité. Il semble bizarre mais je vis les mêmes instants que j’avais à trois ans quand je commençais de découvrir le monde avec tous ses malheurs. Depuis lors j’ai appris qu’une chose peut être bonne et mauvaise en même temps. Cependant moi je ne les utilise pas comme il faut et cela me rend difficile la vie.

                                                                                   Samedi, le 1er décembre  2012, 12.25

Je suis rentrée chez moi malgré ma vraie volonté. Si c’étais selon moi je ne voudrais pas rentrer mais il en a fallu parce que je dois me préparer pour un projet. C’est le seul genre du projet auquel je ne veux pas travailler seule et de cette raison je suis contente parce que j’ai trouvé une collègue qui veut m’aider. Pour ce projet nous devons faire une préparation culinaire spécifique d’un pays que nous avons choisi au commun d’accord. Dans le premier jour dans laquelle j’ai appris  que je dois faire obligatoire cette nourriture j’ai vu ça comme une raison d’inquiétude et je n’ai voulu pas faire rien car je me suis résignée. Finalement j’ai trouvé quelqu’un.

15.40

Pour moi la rencontre avec des connaissances ne signifie pas grande chose et je n’ai été pas enchantée de l’idée de sortir avec eux. Je ne suis pas en colère avec les personnes eux-mêmes mais sur le fait que lorsque je sors avec une amie il apparaît quelqu’un que je ne connais pas mais que me gâche la journée. Comme ça a été aujourd’hui. Quand je suis partie de chez moi j’étais de bonne humeur. Le temps était bon pour le début du mois de décembre. Immédiatement après que je me suis rencontrée avec mon amie j’ai commencé de bavarder. Je crois que c’est normal de régir comme ça quand on se rencontre avec une personne qu’on n’a pas vue de longtemps. Donc tout a découlé normal jusque quand une connaissance de ma amie a apparu. Alors je me suis senti comme un chien. Je me promenais avec eux, je les écoutais en parlant sans dire rien et je regardais en vain. J’étais en train de m’énerver mais heureusement je me suis calmée et je suis partie.

 

                                                                               Dimanche, le 2 décembre 2012, 07.40

Je me suis réveillé à sept heure et demi et j’avais téléphoné ma collègue avec laquelle je dois faire de la nourriture pour le projet. A onze heures il faut que j’aille pour faire des achats.

17.00

Je crois que tout c’est bien passé ou au moins j’ai cette impression. Enfin nous avons décidé ce qu’il nous préparerions, nous avons choisi de faire un gâteau polonais. Bien sur, nous avons travaillé beaucoup. Le truc le plus marrant est que nous avons acheté un citron grand que ma collègue l’a tordu pour le mettre dans un mélange de chocolat fondue avec le beurre. Quand elle a fini, elle a touché involontairement le récipient dans lequel était le jus de citron. Nous avons procuré un autre citron de sa voisine. Mois je croyais que ce citron était trop petit mais à la fin, quand j’ai goûté la composition  je me suis rendue  compte qu’est très aigre et j’étais heureuse parce que le jus de grand citron a tombé. Je suis curieuse de ce qu’il mes collègues penseront.

                                                                                      Mardi, le 4 décembre 2012 16.30

 Je n’ai pas l’envie de ne faire rien. Je me sens maigrie et malade, à peine je suis capable aller jusqu’au lycée. Hier soir j’ai travaillé sur un projet seule. J’ai renoncé au reste de l’équipe et j’ai fait le projet individuellement mais pour la présentation je n’ai voulu pas être seule avant toute la classe et j’ai décidé d’accepter encore trois collègues. Je ne veux pas  être considérée égoïste. Je hais les personnes qui donnent leur avis sur  moi sans me connaître. Avec leurs méchancetés ils m’affectent lors  même que j’essaye de les ignorer. C’est ma faute parce que je me prends la tête et je ne me fais pas bien entendue. J’ai mal partout et je ne peux ni bouger. J’ai réussi  difficilement de faire quelques démarches dans ma chambre. C’est le plus horrible état que je peux avoir.

21.30

J’ai des douleurs musculaires que  me torturant même quand je suis assise. Je n’ai pas réussi d’écrire ni un devoir lors même que j’ai essayé. J’écrivais quelques mots et puis je prenais une grande pause. Soudain mon nez a commence de saigner sans une raison et j’ai renoncé aux devoirs. Je dois me calmer. Je m’en fiche des devoirs.

 

                                                                              Mercredi, le 5 décembre 2012, 09.15

 

Après une nuit avec toutes les douleurs et sans pouvoir m’endormir j’ai décidé de ne partir plus à l’école. C’est vrai que j’ai l’habitude de me torturer mais de cette fois je ne peux plus.

12.27

Je  n’ai fait rien jusqu’au présent parce que je me suis endormie. Quand je me suis réveillé j’avais la sensation que j’avais repris mon pouvoir. J’ai eu besoin seulement d’un quart d’heure pour  me convaincre que ce n’est pas comme j’ai cru. Je suis au bout du rouleau. Je n’ai aucune prétention de moi parce que je sais que je ne ferai pas rien. Les idées irraisonnées ne me laissent pas.

23.00

J’ai été léthargique pour beaucoup de temps. Dès j’ai ouvert les yeux je me suis rendue compte que j’ai mal à la tête. J’ai voulu me coucher de nouveau mais je savais que je ne pouvais plus dormir. Maintenant je regarde par la fenêtre le paysage désolant qu’est dehors. Il neige.

 

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La démonstration du côté positif du Dieu par une apparente réfutation de celui-ci

 

Pour arriver à la conclusion qui l’a propulsé au sommet du rang des philosophes apologistes théistes, Descartes a pénétré pour expliquer la raison de l’existence de Dieu dans la peau des contestataires du Celui-ci. Par conséquent, il attribue au Dieu des traits abominables pour que, par l’intermédiaire du faux semblant doute à l’égard de la sincérité des sentiments du Dieu pour l’humanité, il puisse montrer aux mécréants le chemin vers la vérité. Au début de l’hypothèse, par un doute hyperbolique, il transforme le Dieu aimant dans un être tout à fait haïssable, un mauvais génie, dont le but de la création de l’homme a été celui de le contempler en se divertissant de ses faiblesses et de la façon manquée d’inspiration selon laquelle il réagit face aux tromperies avec lesquelles ce mauvais génie chagrine les âmes sans défense. La principale et la plus grave d’entre les tromperies que Descartes reproche subliminalement au Dieu est celle qui est le résultat  du désir du Dieu de passer comme entité parfaite tandis que le monde qu’il a crée est corrompue par le mal. Comment quelqu’un de parfait pourrait créer des mauvaises choses  et les laisser occuper l’univers pour gâcher les autres qui sont bonnes ?              

« Je supposerai donc qu’il y a, non point un vrai Dieu, qui est la souveraine source de vérité, mais un certain mauvais génie, non moins rusé et trompeur que puissant qui a employé toute son industrie à me tromper. Je penserai que le ciel, l’air, la terre, les couleurs, les figures, les sons et toutes les choses extérieures que nous voyons, ne sont que des illusions et tromperies, dont il se sert pour surprendre ma crédulité. Je me considérerai moi-même comme n’ayant point de mains, point d’yeux, point de chair, point de sang, comme n’ayant aucuns sens, mais croyant faussement avoir toutes ces choses. Je demeurerai obstinément attaché à cette pensée ; et si, par ce moyen, il n’est pas en mon pouvoir de parvenir à la connaissance d’aucune vérité, à tout le moins il est en ma puissance de suspendre mon jugement. C’est pourquoi je prendrai garde soigneusement de ne point recevoir en ma croyance aucune fausseté, et préparerai si bien mon esprit à toutes les ruses de ce grand trompeur, que, pour puissant et rusé qu’il soit, il ne pourra jamais rien imposer. Mais ce dessein est pénible et laborieux, et une certaine paresse m’entraîne insensiblement dans le train de ma vie ordinaire. Et tout de même qu’un esclave qui jouissait dans le sommeil d’une liberté imaginaire, lorsqu’il commence à soupçonner que sa liberté n’est qu’un songe, craint d’être réveillé, et conspire avec ces illusions agréables pour en être plus longuement abusé, ainsi je retombe insensiblement de moi-même dans mes anciennes opinions, et j’appréhende de me réveiller de cet assoupissement, de peur que les veilles laborieuses qui succéderaient à la tranquillité de ce repos, au lieu de m’apporter quelque jour et quelque lumière dans la connaissance de la vérité, ne fussent pas suffisantes pour éclaircir les ténèbres des difficultés qui viennent d’être agitées. »

 

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Poezia dinnoaptea aceasta

 

            Credința

 

Gânduri intense au mocnit  în leagănul tăcerii,

Liberate-au fost și m-au repatriat,

De pe tărâmul uitării  veșnic nesecat.

Spiritul de laurii învierii mi l-au încununat,

Muțenia și amorțirea s-au aruncat,

În brațele durerii,

Iar ea s-a aruncat în cugetul strâns legat,

Pe care eu violent l-am deznodat

Și l-am aruncat....

În brațele trecutului,

Lăsând prezentul să respire,

Iar, dacă credința nu m-o părăsi,

Voi așterne încet îceputul viitorului.

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