Sari la conținut
Forum Roportal

Evaluează acest topic

Postări Recomandate

Era corpul meu care se misca continuu, ca o consecinta à ceva ce mi se intampla în subconștient. 

Partajează acest post


Link spre post
Distribuie pe alte site-uri

À fost o perioada în care aveam,, vid mental. '' "Atunci eram cu adevărat naufragiata, dar simțeam ca trăiesc, pe alte planuri cât cel mental. 

Gandesc, oare, acum ? O alta întrebare dificila. Dacă gândesc de ce gândesc? 

Partajează acest post


Link spre post
Distribuie pe alte site-uri

 « Êtes-vous si fort dans l’art de la dispute ?
demanda le curé, vous l’emportez sur les nôtres ! » « Je n’ai pas disputé, répondit M. de
Rollebon, je lui ai fait peur de l’enfer. »

Sartre-La Nausée

  • Like 1

Partajează acest post


Link spre post
Distribuie pe alte site-uri

Am avut niste problème cu Scribd ul și l-am închis. Mi s-a sustras suma de 60 de lei, nici măcar nu mi-a fost reinnoit abonamentul cu banii ăștia. Voi bloca cardul ca am înțeles ca se mai pot sustrage bani, mai ales ca abonamentul pe un an trebuie sa îmi expire luna aceasta . Ideea e ca am nevoie de Scribd, dar m-à cam dezamăgit. Sa apelez la suportul tehnic? Se poate redeschide contul, dacă voi dori? 

Partajează acest post


Link spre post
Distribuie pe alte site-uri

Că tot vorbeai de sinucidere...pe 28 iunie.chiar azi am preamărit sinuciderea într-un moment în care chiar nu își avea rostul. Tocmai "primisem" cârca bani, ii număram și mă gândeam că ar fi bine sa mă sinucid. Eram în mașină, in timpul jobului, am reușit performanța de a nu mă mai putea ridica din mașină de durere. Am trăit o juma' de ora de tragicomedie pentru cei ce m-ar fi putut Vedea (dar nu m-a văzut nimeni). Bun, plângeam în mașină și spuneam "iarta-ma, Doamne, îmi pare rău!". De nuji cate ori. Boala mea fizică lovește pe cai misterioase.

 

Partajează acest post


Link spre post
Distribuie pe alte site-uri

Masina nu era in mers, vreau sa cred, nu erai tu la volan.    Tragi pe dreapta si ceri ajutor daca se mai intampla, ca ai celular  :surrender:.   Imi pare rau sa aud asta.   

  • Like 1

Partajează acest post


Link spre post
Distribuie pe alte site-uri

Tot ma gandeam unde am auzit asa ceva, ca se intampla cu mare durere aceasta procedura.   

In 2002 o ruda murea la 59 de ani de ciroza alcoolica, a fost in multe locuri internata sa se lase de baut dar nu era material deja ca era diagnozata dementa si altele la varsta ei, iar in ultimul spital doctorul ne-a tinut la un grup de aproape 100 de femei o lecturare amanuntita sa intelegem de ce iubita noastra prietena n-are sansa la viata pe langa ca a primit servicii la mare inaltime ca si ea a fost Asistenta Medicala pana a mai fost OM. 

N-avea 1 fir de par alb, era slaba, arata ca o copila doar la fata era umflata si la burta in ultimele luni.   Ne-a explicat doctorul de la A la Z ce inseamna moarte si cum se intampla, din cati pasi e procesul, dar nu in spital, ca acolo se ajuta pacienta sa treaca fara dureri si totusi a durat peste 5 zile in cazul ei.   

Am vazut ca o doamna a fost adus in Hospice, partea spitalului unde se moare rapid, fiul si nepoata nu erau pregatiti pentru asta, au fost la o vizita si a primit internare, recuperare si ea a stat pe marginea patului pana sa-i aduca personalul  lenjerie si altele. Fiul doar a intrat in lift sa coboare, ea a cazut un pic inainte si era moarta.  Nu stiu ce boala avea dar a facut lista ce sa-i aduca fiul de acasa cu 3 minute inainte.    Am auzit ca eram la 5 metri de ea intr-o sala de asteptare pana aveam acces in camera pacientei pe care o vizitam.  Toate usile sint deschise daca nu este doctorul in vizita sau tratament.    Am vazut si invatat foarte mult acolo dar si in spital cat a stat 3 saptamani ca vegheam cu randul multe femei sa nu fie singura, tot eu eram in tura cand a fost dusa in Hospice, eu am semnat actele de iesire din spital si internarea si predarea la incinerare.

A facut-o cu mana ei din prostie ca un Nae n-o iubea ... :eek:  

Partajează acest post


Link spre post
Distribuie pe alte site-uri

 

Ceci ce n’est pas l’autodafé des technophobes 


« À la suite de mon prodrome d’inspiration qui a commis des changements inéluctables dans la manière de me révolter, j’ai convaincu mon esprit, L’Empereur de la révolte contre tout ce qu’il y a du mal pour les Sens, car il est aussi, ou, au moins, il doit être l’hégémon de mes Sens, je l 'ai convaincu, donc, de me laisser écrire une lettre de consolation pour tous ceux qui se sentent où se trouvent, directement ou indirectement, sous la manipulation obstructive des outils technologiques, bien connus pour leur  caractère offensif contre l’espèce humaine. Cependant, en essayant de me servir d’autant d’honnêteté que je possède, je pourrais faire l’assertion que je souffre d’un je m’en-fichisme inégalable en ce qui concerne la qualité et quantité des informations appartenant à la sphère psychologique à l’aide de laquelle j’acquerrai plus rapidement la possibilité de juger raisonnablement les bienfaits et les inconvénients de la technologie. 
    Mon essai était d’analyser succinctement la problématique des ainsi dites « technophobes ». Ainsi, dans ma mégalomanie qui s’est manifesté pendent un instant, j’ai esquissé dans mon imagination un essai vaste sur le sujet ledit et, quelques autres adjacentes, mais faute du temps et bien sûr à cause d’un nouveau manque des vagues d’inspiration, je me suis découragé trop pour continuer à débattre ce sujet. Il me semble superflu et assez insensé de faire une étude concernant ces faux problématiques, ou probablement seulement faux-semblants, tout ce qu’il est lié à la révélation des assauts de la technologie est inutile et utile, à la fois. J’ai souhaité qu’il ne s’agisse pas d’un essai d’école élémentaire visant l’accumulation des connaissances sur les événements qui ont lieu dans le domaine technologique et un possible débat puérile sur ces sujet-là, un « brainstorming » (j’utilise cet anglicisme seulement parce que je le haïs et je veux faire du mal à mon humeur déjà assez instable), mais de la santé psychique de l’humanité, il faut savoir que les erreurs majeures ne doivent pas se répéter. Moi je suis l’exemple éloquent. Jadis j’ai fait du domaine du transhumanisme et de tout ce qui s’imbriquait à la technologie, un Credo. Aujourd’hui, me voilà, sans foi, presque folle devant une porte d’un immeuble d’habitation négligé. Je suis devenue une étrangère pour tout le monde, tout le monde est devenu étranger pour moi, je ne peux compter sur personne, personne ne peut compter sur moi. Tout a commencé avec la connexion Internet. Puis l’incapacité de me déconnecter pendent des jours, des semaines, des mois…
Les lamentations tardives qui pour certains pourraient laisser l’impression de mièvreries, pour moi sont devenues un état, plus clairement une manifestation de l’état déplorable où je suis restée coincée depuis longtemps. J’exagère, la vie a commencé à me frapper plus fort il y a 4 ans et je peux affirmer que de cette fois-ci, ce n’est pas la faute de l’addiction Internet. Plus ou moins. Je me questionne, de cette fois-ci, avec un style d’écriture visiblement exacerbé, quasi romanesque, mais incroyablement sincère (car moi, lors même je deviens pathétique pour mes autrui, moi, je crois dans mes pensées exagérées), qui pourrait me sauver. Dieu ? 
Toi, Rédempteur, laisses-moi, si tu existes, dans mon âme pitoyable des réminiscences de foi et donne-moi un brin d’espérance, je n’ose pas de te demander la rédemption ! Je cherche la foi en tâtonnant, je ne la trouve pas mais, parfois je me dis en parlant tout de seule et en haletant rapidement de l’air : Dieu, moi je ne t’ai pas, mais toi tu m’as. Peux-tu m’offrir une vie au fondement de laquelle je puisse construire quelque chose ? Je vais noter encore quelques mots, puis je vais monter l’escalier…Une autre porte, la vie est composée seulement des portes. Il faut savoir qu’on a besoin aussi des clés. A propos, où j’ai mis la clé ? Ne t’inquiète pas, esprit coléreux, on va trouver aussi la clé !
Excusez-moi pour les digressions et pour le style très familier avec lequel j’expose ces faits, c’est mon journal et je m’octroie tous les avantages dont j’ai besoin pour élaborer mon petit roman autobiographique intitulé « Athanasie . » Si vous ne me suivez pas, vous pouvez vous libérer de mes humeurs instables !  Oui, on me surnomme « Athanasie ». Athanasie, quel beau sobriquet ! Quant à l’attribution d’écrivaine, moi aussi je me sens libre de noter toutes sortes des niaiseries, je me permets aussi de ne pas écrire. Je ne suis pas écrivaine. Si j’ai envie, je peux tout effacer, je peux même tout brûler. Je peux même effacer la plupart de mes traces d’existence terrestre, mais pour le moment je ne trouve pas suffisantes raisons. Je ne trouve aucune raison, en effet, j’aime flâner dans les rues, me balader avec la pensée, errer dans le cerveau des gens, essayer de découvrir leurs comportements les plus obscurs, instinctuels et imprédictibles. Peut-être que mon caractère herborise ces gens-là, ils semblent être persécutés parfois, mais moi, à vraiment parler, comment est-ce que je me sens, moi, à côté d’eux ?  
Encore un paragraphe et peut être j’arrêterai cette graphorrée. Je me suis rendu compte que j’ai oublié noter la date. Aujourd’hui c’est le 19 novembre 2019. Je suis venue dans ma ville natale. Puisque quelques notations personnelles m’ont agacé, il faut savoir que parfois moi je réaccuse ma propre personne pour avoir bavardé vainement. Les mots que j’ai usités ne sont pas indispensables ni pour moi, ni pour vous.  Tout est inutile, comme le moment qui se déroule pendant quelques décennies, entre les deux formes de nonexistences, c’est-à-dire, la vie. Moment suspendu, comme l’appelait Eminescu, temps qui déchire la pureté du manque de l’existence des non-crées, un temps quelqueconque qui se délimite pour quelques décades de l’obscurité de l’Inconnu. Voilà toute ma philosophie ! Voilà aussi votre philosophie, une philosophie que vous l’abhorrez en silence, mais paradoxalement une philosophie que vous admettez. Principalement, les mots, n’ont jamais été utiles pour soutenir l’espèce humaine ceux-ci l’ont seulement créé car « au commencement il y avait la Parole » Le contexte nous indique clairement qu’il faut entamer une discussion sur le concept, sur la Parole, mais qu’on s’arrête ici, puisque je n’ai pas envie d’écrire encore pour longtemps…Je peux annoter télégraphiquement que l’essor de la civilisation ne s’est pas aidé des mots, ni de la Parole même, si on fait une extrapolation. Quand Dieu a parlé, il a condamné à l’Inconnu, puis à la vie, puis de nouveau à l’Inconnu, L’Homme.  Dieu a condamné par l’intermédiaire de la Parole l’Homme à l’Eternité. Quand l’homme a commencé à parler, il a aussi commencé à détruire ce que Dieu a créé. Point !    19 novembre 2017 »

À l’instar d’un écolier, il faut que je me présente. C’est moi la voix du narrateur, c’est moi à laquelle les notations d’Athanasie ont parvenues, pour cette raison, je pense que c’est honnête de se présenter. Avec un sobriquet, comme réponse à ceux qu’Athanasie a écrit. Mes amis me surnomment Adele Simone von Adelsberger parce que j’ai été fermement convaincue pendent quelques semaines  que je suis une duchesse Allemande imaginaire, nommée de cette façon. Si vous pour continuiez encore à lire quelques lignes,  je vous expliquerai plus clairement avec quel droit je me suis permis d’utiliser les écritures d’Athanasie. Pour le moment, pour dévoiler un peu l’énigme, je peux dire que ceux-ci a été son vœu.  Moi je me considère sq prophétesse.  Je ne suis pas originale, je n’ai pas été originale dans la pensée du moment où j’ai accepté à mettre en revue la vie d’Athanasie. Combien des autres écrivains n’ont pas fragmenté des lettres des personnages avec leurs gloses ! De l’originalité on parlera plus tard. Mais je commence à me demander une fois avec l’écriture de ce roman me détruira, serai-je détruite par ma propre création ? Moi je fais strictement le devoir moral que j’ai senti faire, celui de raconter les mésaventures au bord du bateau de la vie voilé en noir, qui a souvent la tendance de naufrager. Ni la quantité du lest ne pourrait pas l’aider au  cas d’un possible naufrage. Tout est mélangé avec un peu d’égoïsme, bien sûr ! 
Je pourrais dire que j’ai connu assez bien la protagoniste, lorsque nos vies se sont entrecroisées pour peu du temps, je l’ai analysé assez bien que possible dans le laboratoire de mes émotions et bien sûr de ma cognition, et à la fin, au moment où je me suis rendu compte qu’elle se trouve sur une possible liste de l’élection pour l’éternité, je me suis profondément chagriné, il est vrai, mais d’autre part je me suis réjoui. Finalement elle est partie… Pourquoi j’ai procédé de cette manière ? Parce que j’ai affirmé que j’ai connu certains caractéristiques comportementales d’une telle ou telle mesure et une multitude de ses idées. Elle parlait de l’infini…Maintenant elle a connu ou connaitra l’infini, sous n’importe quelle forme. Pourquoi pleurer ? Selon moi, il faut procéder comme Lucian Blaga décrivait la pensée des Daces si attentivement dans Zalmoxis: à l’accouchement il est plus nécessaire de pleurer qu’à la mort d’un homme. 
En me traçant des profondes empreintes dans la mémoire, tout aussi comme pour ce qui signifie la manière d’interagir avec les gens, Athanasie mérite d’être l’héroïne d’un roman, le personnage éponyme d’un roman, même. Mais qui suis-je, en effet pour dire cela ? J’ai été la camarade de souffrance de celle-ci et puis nous avons lié une relation puissante d’amitié. Je suis désolée, vous avez découvert la fin de cette écriture. Pourtant, il faut savoir qu’il ne faut pas lire un livre pou sa fin. 
Athanasie c’était moi, c’était vous, c’était un autre. Comme tout le monde. Elle était aussi la matrice des extrêmes. Je me suis identifié à elle et je le fais encore. Si étrange, extravagante, mais avec des habitudes et occupations pas extraordinaires, normales, et parfois sublimes et… rarement à la limite du bon sens. J’ai dit que je ne manifesterai pas trop mon regret causé par son départ tellurique précoce et je reste ferme dans mon discours, je ne vais pas la pleurer, en mouillant les pages sur lesquelles j’écris, avec mes larmes anodines.  
Si quelques lecteurs ont renoncé à la lecture de mes recueils des lettres et tentations de la décrire, ici, je peux dire, c’est un autre seuil, seuil qui fait le choix d’un lecteur patient qui pourrait suivre toutes mes idées, et bien sûr, celles d’Athanasie. Je vous le répète : Partiez de l’univers d’Athanasie, partiez de mon univers idéique si vous ne pouvez admettre mon style d’écriture, partiez si vous ne croyez pas dans le fait que la souffrance de la vie va équilibrer tout à la fin, partiez puisque vous connaissez ce sacré dénouement ! 

C’était 19 novembre 2017, comme l’on a déjà mentionné. Elle s’est étayée devant l’immeuble en commençant à feuilleter un calepin bleu. Devant ses yeux est apparu un poème qui abordait le thème de l’inutilité des mots, exactement le sujet dont on a parlé dans le prologue. C’est la même raison pour laquelle elle est resté engourdie spirituellement. Bien qu’elle ait manifesté cet engourdissement, elle n’a pas tempéré ses rayons de curiosité et elle a commencé à lire, ou qui sait, peut-être à dire le poème par cœur en l’ayant devant ses yeux, au cas qu’il se trouverait à un moment donné une entrave, un piège crée par ses propres mots de réussir à faire cette déclamation.  Prisonnière de ses propres mots, quelle infortune ! 

     Réminiscences des mots

Les mots usités dans un poème oublié sont beaucoup plus étrangers que la voix d’un écrivain qui dit tout et qui ne dit rien.
Ils sont maintes fois plus étrangers que j’aurais les imaginés avant d’avoir créé des anciennes rimes en putréfaction ;
Pêle-mêle un effluve des pensées marginaux déborde…La vie me semble être la catacombe d’une constellation,
Qui sera cachée encore pour des siècles et des siècles jusqu’à une véritable fin, fin d’un voluptueuse volute de la fumée qui crie soudain :
« Laisse-moi rester dans tes poumons, toi qui aimes le goudron, je vais te montrer dorénavant le parfum infernal si fin qui se dégagera d’un écrin.
Il faut témoigner qu’il y a longtemps que j’ai laissé mes pensées proie aux limites qui n’ont pas la couleur de l’hyacinthe,
Et je me sens libre, invincible, quoique je sois parcimonieuse de mots, je vois les étoiles de la constellation.
C’était en plein été quand avec un sourire sordide et la voix aride j’ai entrouvert mon cerveau paralytique,
En racontant à tue-tête, et bien sûr, à mi-voix, un terrible dénouement
Un dénouement qui appartient à un de mes romans non-crées, intitulé « La miséricorde des réminiscences des mots prononcés jadis par un être ingrat » .
 

Partajează acest post


Link spre post
Distribuie pe alte site-uri

Mi-am început ziua cum nu se poate mai bine, cu 2 apeluri nepreluate de la 112. Hahaha !  Cum asa ? Pai am apelat din greseala, știți voi, chiar dacă sunt blocate telefoanele, se mai apelează cateodata.... Credeam ca o iau razna, ma gândeam ca nu am de unde sa scot câteva sute de lei pentru a plăti amenda, la cel de-al treilea apel am răspuns, am zis sa-mi iau inima în dinți sa le spun ca a fost o greșeală. 

Partajează acest post


Link spre post
Distribuie pe alte site-uri

Creează un cont sau autentifică-te pentru a adăuga comentariu

Trebuie să fi un membru pentru a putea lăsa un comentariu.

Creează un cont

Înregistrează-te pentru un nou cont în comunitatea nostră. Este simplu!

Înregistrează un nou cont

Autentificare

Ai deja un cont? Autentifică-te aici.

Autentifică-te acum

×